vendredi 20 janvier 2012

La tenue du jour

Le manteau militaire


C'est plutôt d'une femme soldat  que vous aurez l'air. Si vous penchez pour l'uniforme militaire, la couleur kaki fait son revival. Comme Daria Werbowy, on porte un chemisier en soie au col officier qui, associé à un treillis dans ce ton, sera idéal. Si c'est l'univers aviateur qui vous plaît, les chapeaux et les combinaisons en cuir sont mis à l'honneur. Vous avez le choix !
Auteur(s) :  Ilaria Casati












mardi 17 janvier 2012

Le son du jour

 Pumped Up Kicks






L'hymne de l'été Pumped Up Kicks en session électro-acoustique

Par  et  (LEXPRESS.fr), publié le 10/10/2011 à 18:30

Imparable. Pumped Up Kicks, signé Foster The People, est l'un des tubes de l'année. Côté pile, un gimmick ensoleillé et entraînant, côté face des paroles sur un gamin en proie aux idées noires. Explication et démonstration avec le leader Mark Foster et ses acolytes Cubbie Fink et Mark Pontius.
























































































jeudi 12 janvier 2012

Prothèse PIP danger !!

Prothèses PIP : Mas a organisé son insolvabilité


Par figaro icon Aliette de Broqua - le 10/01/2012
L'ex-patron de Poly Implant Prothèse dit avoir perdu tout revenu et épargne, compliquant l'indemnisation des victimes.
Jean-Claude Mas, le très contesté patron de Poly Implant Prothèse (PIP), ne pourra pas indemniser ses victimes s'il est reconnu coupable. Les 400.000 à 500.000 femmes qui dans le monde vont devoir se faire réopérer pour retirer et remplacer des implants mammaires remplis de gel non homologué s'étant rompu de façon précoce ou menaçant de le faire et provoquant des réactions, ne pourront pas se retourner contre lui. Plus de 2500 plaintes ont déjà été déposées en France. Mais leur indemnisation risque d'être difficile.
Jean-Claude Mas se déclare insolvable. A-t-il organisé cette insolvabilité? Quelques mois après la découverte du scandale par l'Afssaps et la liquidation de la société PIP qui en a découlé, en mars 2010, il a cédé un de ses actifs facilement repérable, une belle villa située dans un quartier résidentiel de Six-Fours-les-Plages dans le Var, non loin de l'ancien siège de l'entreprise.
Il avait en effet acquis avec sa compagne, Dominique L, cette belle propriété du lotissement des Hauts de Saint-Pierre, sur les hauteurs au-dessus du petit port du Brusc. Celle-ci avait été logée dans la SCI Prince Michel, immatriculée au Luxembourg, qu'ils détenaient à parité. Le 27 septembre 2010, Mas a cédé ses parts à Dominique L (49 %) et à leur fils Nicolas L (1 %). Le tour est joué!
Car pour protéger sa compagne et son fils, Jean-Claude Mas, qui est résident luxembourgeois, a déclaré aux gendarmes lors de ses auditions, qu'il habitait rue du Rouveau, à l'autre bout de Six-Fours-les-Plages. C'est également ce qui est indiqué sur son passeport. Mais, à cette adresse, une copropriété de trois petits immeubles, son nom ne figure sur aucune boîte aux lettres.
Et aujourd'hui, la villa des Hauts de Saint-Pierre serait en vente pour 1,6 million d'euros, selon un ancien salarié. Mas a donc eu beau jeu de déclarer aux enquêteurs qu'il ne possédait rien. L'appartement où il est censé habiter? Il est en train de l'acquérir en viager, moyennant une rente mensuelle de 900 euros, mais tant que le vendeur est vivant, il n'en est pas propriétaire. Et le logement au Luxembourg? Il en est seulement locataire. Avec une retraite de 1650 euros par mois et 500 euros sur son compte en banque, il «survit», a-t-il indiqué aux enquêteurs. C'est sa fille ou Dominique L qui règlent la rente de son appartement, précise-t-il.
Mais qu'a-t-il fait de tout l'argent qu'il a brassé? Il avait de confortables revenus: 300.000 euros brut par an de jetons de présence depuis qu'en 2005, ayant pris sa retraite, il était devenu président du conseil de surveillance tout en continuant à diriger l'entreprise.
«Je ne suis pas un homme d'argent, j'avais un bébé et des employés», a-t-il déclaré lors d'une de ses auditions. Il avait pourtant mis en place des montages très complexes pour contrôler PIP et ses biens. Ainsi, deux holdings luxembourgeois, Penny Holding et Milo Finance, contrôlaient la société cotée aux États-Unis Heritage WorldWide Inc, qui elle-même portait la participation dans PIP. Penny Holding et Milo Finance, qu'il avait créés avec Dominique L, ont été liquidés. C'est peut-être seulement la partie émergée de l'iceberg, estime un ancien salarié. Selon lui, il y a eu une importante évasion de chiffre d'affaires à l'étranger: «Le service de relance des factures impayées à l'étranger a découvert que M. Mas se faisait payer directement en liquide»…

PIP : au moins 400.000 femmes concernées dans le monde

Par figaro icon le figaro.fr - le 07/01/2012
Une Venezuelienne de 50 ans montre un scan de son implant PIP défectueux fissuré.
Les prothèses défectueuses PIP ont été vendues dans toute l'Europe mais aussi en Amérique du Sud et en Australie. Tour d'horizon des recommandations émises par les autorités sanitaires des pays concernés.
L'affaire des prothèses mammaires défectueuses de l'entreprise française Poly Implant Prothèses (PIP) ne touche pas que la France. De 400.000 à 500.000 femmes dans le monde seraient concernées. Si les autorités françaises se sont prononcées pour le retrait des prothèses et un remboursement pris en charge par la Sécurité sociale, les autres pays n'ont pas tous suivi cette ligne. De l'Europe à l'Autralie en passant par l'Amérique latine, nombreux sont les États à avoir émis des différentes recommandations.

EUROPE

La Commission européenne a annoncé le 5 janvier avoir proposé la mise en place d'un «système d'évaluation commun» pour aider les autorités sanitaires de chaque pays à évaluer les risques. Bruxelles travaille par ailleurs, depuis plusieurs mois déjà, à la révision de l'actuelle directive sur les «dispositifs médicaux», qui date de 2007, et doit présenter ses propositions dans le courant de ce semestre. Le texte devrait prévoir un renforcement de la traçabilité et favoriser un meilleur échange des informations entre les États membres.
• Royaume-Uni:
Depuis le 21 décembre, les autorités conseillent un suivi aux 42.000 porteuses d'implants PIP. Plus de 250 plaintes ont été enregistrées contre les cliniques qui ont posé ces implants. Le gouvernement britannique a toutefois indiqué n'avoir trouvé aucun élément plaidant pour un «retrait généralisé» mais a assuré que les femmes opérées dans les hôpitaux publics pourraient les faire retirer gratuitement si elles le désiraient.
• Allemagne:
Les autorités ont recommandé vendredi le retrait des prothèses «à titre préventif» a précisé l'Institut fédéral pour les produits médicaux (BfArM), placé sous la tutelle du ministère de la Santé. Selon la presse, 7500 femmes porteraient des implants PIP. Dix-neuf cas de prothèses défectueuses auraient été répertoriés fin décembre dans le pays.
• Italie:
Les autorités recommandent depuis le 22 décembre un suivi médical aux porteuses de ces implants dont la pose a été interdite en avril 2010. La presse évalue à 5000 le nombre de femmes concernées. Le 30 décembre, le parquet de Turin a ouvert une enquête sur le fondateur de PIP, Jean-Claude Mas.
• République tchèque:
Trois jours après avoir conseillé aux 2000 porteuses tchèques de consulter un médecin, le ministère de la Santé a recommandé vendredi le retrait pur et simple de toutes les prothèses PIP.
• Pays-Bas:
Le gouvernement a appelé le 27 décembre les 1000 Néerlandaises porteuses de prothèse PIP, interdites en 2010, à «ne pas paniquer». De simples examens de contrôles sont recommandés.
• Belgique:
Les responsables belges ont appelé le 23 décembre 2011 toutes les patientes concernées à se faire examiner par un médecin. Ils ne préconisent toutefois le retrait qu'en cas de rupture, suspicion de rupture ou suintement.
• Espagne:
Un suivi médical est recommandé depuis le 31 mars 2010 aux Espagnoles ayant reçu des implants PIP. Comme en Belgique, le retrait n'est envisagé qu'en cas de soupçon de rupture.
• Suisse:
Un contrôle régulier tous les six mois est recommandé depuis fin décembre aux 280 porteuses.
• Finlande:
Les autorités sanitaires préconisent depuis le 23 décembre 2011 une «surveillance spéciale» aux femmes portant des implants PIP.

AMÉRIQUE DU SUD :

• Brésil:
L'utilisation des prothèses PIP n'y est interdite que depuis le 30 décembre bien qu'elles aient été retirées du marché brésilien depuis 2010. L'Agence nationale de vigilance sanitaire (Anvisa) a recommandé aux porteuses de se soumettre à des examens médicaux. Plus de 34.600 implants individuels de cette marque ont été importés au Brésil, dont 24.534 ont été commercialisés.
• Argentine:
Quelque 15.000 femmes seraient concernées. Elles sont invitées à consulter leur médecin.L'importation, la commercialisation, la vente et l'utilisation d'implants mammaires PIP sont interdites dansle pays depuis avril 2010.
• Venezuela:
Le gouvernement a annoncé le 27 décembre 2011 la gratuité du retrait des implants dans les hôpitaux publics, même si les prothèses ont été placées «de façon illégale». En revanche, leur remplacement ne sera pas pris en charge. Quelque 200 porteuses réclament donc en justice le remboursement des frais de remplacement aux distributeurs locaux de prothèses PIP. Elles exigent aussi que la lumière soit faite sur les responsabilités éventuelles du gouvernement français dans cette affaire. Environ 40.000 mammoplasties sont réalisées chaque année au Venezuela, mais aucune estimation du nombre de porteuses d'implants PIP n'a été communiquée.
• Équateur:
Selon les médias locaux, environ 5000 Equatoriennes sont dotées de prothèse PIP. Celles-ci ne sont interdites que depuis le 29 décembre dans le pays.
• Bolivie:
Les implants PIP y étaient théoriquement interdits mais des chirurgiens ont rapporté leur présence. Les autorités proposent donc une opération gratuite pour les ôter.
• Chili:
Quelque 1100 implants ont été commercialisés dans le pays. Les autorités sanitaires recommandent aux porteuses de renforcer leur contrôle médical.

ASIE-PACIFIQUE:

• Australie:
Les autorités ont estimé jeudi n'avoir aucune preuve concernant un risque anormal de rupture des prothèses PIP vendues dans le pays. Seuls 37 cas de rupture d'implants ont été répertoriés sur 9054 utilisés entre 2002 et 2011 (soit un taux de 0,4%). Les prothèses ne sont toutefois plus utilisées dans le pays depuis 2010.

Le fondateur de PIP admet la supercherie sans complexe

Par figaro icon le figaro.fr - le 06/01/2012

75% des implants auraient été remplis de gel PIP
Jean-Claude Mas a reconnu en octobre devant les gendarmes avoir produit pour ses prothèses un gel de silicone non homologué, tout en niant le risque pour la santé.
Le fondateur des prothèses PIP assume. Selon un procès verbal de garde à vue rendu public par l'AFP jeudi, Jean-Claude Mas, 72 ans, a admis en octobre devant les enquêteurs avoir produit un gel de silicone non homologué, issu d'une formule de sa production. «Je savais que ce gel n'était pas homologué, mais je l'ai sciemment fait car le gel PIP était moins cher (...) et de bien meilleure qualité», a-t-il expliqué aux gendarmes, sans regret apparent. «Dès 1993», deux ans seulement après la création de sa société, il «donne l'ordre de dissimuler la vérité» à l'organisme certificateur allemand TÜV, bien avant la mise sur le marché des implants aujourd'hui incriminés.
Pour ceux-là, la fraude commence «dès 2001», quand le silicone est réautorisé en France pour les prothèses mammaires, selon les déclarations de Thierry Brinon, directeur technique arrivé en 2006. On lui aurait alors expliqué que le gel principalement utilisé était de fabrication «maison» et non pas le gel américain Nusil déclaré à TÜV. D'après Jean-Claude Mas, 75% des implants étaient remplis de gel PIP, 25% seulement avec du Nusil.
«L'unique motivation» de la fraude étant «d'augmenter sensiblement la rentabilité de l'entreprise», affirme Thierry Brinon: ainsi en 2009, le prix du gel PIP était de 5 euros par litre, contre 35 euros pour le Nusil, soit une différence de 10 euros par implant et un gain d'un million d'euros par an pour une production de 100.000 prothèses. Gain partiellement englouti dans des procès en Angleterre et aux Etats-Unis. Mais Jean-Claude Mas «vivait bien à l'époque», sa rémunération fixée à 30.000 euros par mois.
«Faire disparaître les documents»
Comment les contrôles ont-ils été déjoués, pendant si longtemps?, s'étonnent les enquêteurs. «TÜV annonce sa visite dix jours avant... C'était de la routine, je donne l'ordre de dissimuler tous les documents ayant trait au gel PIP non homologué, et concernant les containers, les employés se débrouillaient pour les faire disparaître», explique Jean-Claude Mas. PIP avise TÜV des modifications de packaging par exemple. Mais pas de celles concernant le gel, «vu qu'il n'existe pas...» Pour Thierry Brinon, «tant que ces organismes inspecteront avec préavis systématique, toute déviance industrielle pourra être cachée».
Que contenait ce fameux gel PIP? «Une base de formulation du Dr Arion (chirurgien que Jean-Claude Mas rencontre dans les années 80, ndlr), que j'ai améliorée en changeant les températures, les pourcentages (de produits introduits), afin de rendre le produit plus cohésif,» raconte Jean-Claude Mas.
Mais assez vite le produit montre ses limites. D'autant qu'on économise aussi sur la qualité des enveloppes. Résultat, les ruptures d'implants s'additionnent et des chirurgiens s'inquiètent. «Bon nombre de personnes dans l'entreprise, connaissant la fraude, sont convaincues que la qualité du gel PIP en est la cause et même M. Mas qui vantait son gel comme son troisième enfant commençait à en douter», poursuit Thierry Brinon. Le patron décide alors de mettre au point un gel «PIP2», promettant «un superbe voyage» au chimiste qui lui trouverait la solution. Mais en 2009, le nombre de ruptures croît «entre 30 et 40%», selon le directeur financier Claude Couty, «avisé par les courriers des chirurgiens et par notre département commercial». «Mon rôle a été de payer les indemnisations aux patientes. De mémoire sur une période d'un an (2009-2010), j'ai payé entre 60.000 et 70.000 euros», pour environ 100 à 150 patientes. Les cadres commencent alors à prendre leurs distances, mais «M. Mas décidait de tout», se justifie-t-il.
Les plaignantes «font ça pour le fric»
Pour le fondateur de PIP, ses prothèses ne présentaient «aucun risque pour la santé». D'après le procès verbal dressé par les gendarmes en novembre 2010 et dévoilé jeudi par TF1, Jean-Claude Mas estime que de toute façon, devoir être explanté, «ce n'est pas grave». Quant aux plaignantes, il s'agirait de «personnes fragiles ou qui font ça pour le fric».
Un premier procès doit se tenir en octobre prochain pour tromperie aggravée, un délit passible de quatre années d'emprisonnement et de fortes amendes. Le cap des 2400 plaintes a été franchi dans l'enquête préliminaire. Ouverte au mois de mars 2010, l'enquête a été close le 10 octobre dernier. Vingt cas de cancer ont déjà été signalés sans qu'un lien ait été établi pour l'instant avec ces prothèses qui ont été implantées sur 30.000 femmes en France et 300.000 au total dans le monde.


mercredi 11 janvier 2012

la tenue du jour

LE PANTALON CAROTTE.

Il peut se porter de plusieurs façon
Tout d'abord classic
pimkie.fr 






Ou si non plus décontracter 
















Lana Del Rey - Video Games

Je reviens sur cette artiste que je trouve vraiment douée.


Lana Del Rey : Off To The Races, le clip

par  le 22/12/2011 16:43 | Dans l'actualité Musique
Lana Del Rey fait de plus en plus parler d'elle. Alors qu'elle a sorti son dernier titre "Off To The Races" il y a quelques jours à peine, elle vient de dévoiler le clip qu'elle a elle même réalisé. melty.fr vous le fait découvrir
Totalement inconnue il y a de cela quelques mois, c'est en publiant le clip d'une ses chansons "Video Games" puis un deuxième illustrant l'un de ses autres titres "Blue Jeans" que Lana Del Rey s'est imposée comme étant la surprise de cette fin d'année 2011. Son premier clip "Video Games" a déjà été visionné plus de 15 millions de fois, repris et remixé par plusieurs groupes, et la jeune femme est signée sur le label Interscope, une filiale d'Universal, qui produit entre autres les Black Eyed Peas et Lady Gaga. Son premier album "Born to die", est prévu pour sortir le 30 janvier 2012. La chanteuse a donc décidé de commencer à promouvoir sérieusement cet album. Il y a 2 jours, Lana Del Rey mettait en ligne un titre inédit intitulé "Off To The Races". Aujourd'hui c'est déjà le clip que la chanteuse nous propose. melty.fr vous propose de le découvrir.
Lana Del Rey proposait la semaine dernière son premier clip "professionnel" pour accompagner son single Born To Die. Cette fois, la chanteuse propose une vidéo qu'elle a réalisé elle-même et qui s'inscrit directement dans la lignée de ces premières réalisations Video Games, Blue Jeans ou encore Kinda Outta Luck qui reprenait déjà ce style très personnel. Le clip est en effet composé d’images de toutes sortes, tirées vraisemblablement de différents films et qui, en apparence, n'ont strictement rien à voir ensemble. La chanteuse américaine utilise des codes du cinéma ancien et met surtout en avant des images de fête, d'amour et de violence qui se succèdent pendant près de cinq minutes. Ce style unique confirme l'originalité et l'univers propre de cette artiste. Son album "Born To Die" étant déjà un des disques les plus attendus de l'année 2012, Lana Del Rey s'impose naturellement comme la probable grande révélation de l'année prochaine. Et vous, que pensez-vous de Lana Del Rey ? Comment trouvez-vous le clip illustrant sa chanson "Off To The Races" ?
Lana Del Rey Off To The Races le c
Lana Del Rey Off To The Races
Lana Del Rey Off To The Races le c
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